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Samedi 23 septembre 2017
20h30 cathédrale d’Angers

 

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Jean Guillou, orgue
Alexander Kniazev, violoncelle

 

 

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On ne présente plus Jean Guillou à Angers où il est né le 18 avril 1930
et où il a été titulaire de l’orgue de l’église Saint-Serge à …12 ans.
Compositeur, écrivain, pianiste, professeur, concepteur d’orgues,
titulaire des grandes orgues de Saint-Eustache à Paris pendant plus
d’un demi-siècle, il est un interprète au jeu virtuose et à la vision
novatrice du grand répertoire organitisque.
Il a écrit pour instruments solos, voix, formations de chambre et grand
orchestre. Son travail, sa sensibilité et son inventivité ont repoussé les
limites techniques de l’orgue et donné à ses œuvres une singularité
toute particulière.
Plusieurs décennies d’enseignement dans le monde, dont 35 ans de
master-classes à Zürich, lui ont permis de faire éclore des générations
nouvelles d’organistes de grand talent.

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J.S Bach       Sonate n°2 en ré majeur BWV 1028
Sonate n°3 en sol mineur BWV 1029
Choral “Nun Komm, der Heiden Heiland” BWV 659
Sicilienne de la sonate pour violon n°4 BWV 1017
Chaconne de la partita n°2 en ré mineur BWV 1004 (arr. pour violoncelle)
J. Guillou     Fantaisie-concertante pour violoncelle et orgue

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Le dialogue de l’orgue et du violoncelle, un défi à soutenir dans ce
programme en partie dédié à J.S Bach. Alexander Kniazev proposera
sa vision de la Chaconne, chef-d’œuvre écrit à l’origine pour le violon.
La Fantaisie-concertante de Jean Guillou, entre puissance et poésie
pure, réunit les deux instruments pour conclure les deux concerts.

Mardi 3 octobre 2017
20h30 Grand Théâtre

 

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Geneviève Laurenceau, violon
David Bismuth, piano

 

 

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Geneviève Laurenceau est l’une des plus brillantes représentantes du
violon français actuel.
Chambriste, soliste, directrice de festival, professeur, elle a été élue
“artiste de l’année” par Res musica en 2011. Cette année elle consacre
à la musique française un enregistrement avec David Bismuth.
Désigné par le magazine “Pianiste” comme l’un des dix pianistes
français les plus doués de sa génération, David Bismuth se distingue
par son jeu lumineux et profond où se conjuguent, sans ostentation,
science de l’architecture et poésie du timbre, comme le constatent
au début de chaque été les habitués du Festival Musical de Durtal.

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Falla               Suite populaire espagnole
Granados        Danse espagnole, Andaluza (transcription Kreisler)
Saint-Saëns    Introduction et Rondo capriccioso en la mineur
Allegro appassionato, pour piano
Sonate n°1 en ré mineur

​

Bis

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GLUCK : Orphée et Eurydice : ballet des ombres heureuses

ELGAR : Salut d’amour

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Des oeuvres à la charnière des XIXème et XXème siècles, espagnoles avec
Falla et Granados, françaises avec Saint-Saëns. Les premières évoquent
une musique populaire savoureuse, tandis que le compositeur français
incarne un classicisme qui peut être ‘’capricieux’’, “passionné”, et
requiert une virtuosité brillante de la part des deux instrumentistes.

Mardi 17 octobre 2017
20h30 Grand Théâtre

 

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Quatuor Akilone
Élise de Bendelac, Émeline Conce, 
violons,
Louise Desjardins, alto, Lucie Mercat, violoncelle,

 

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Quatre filles dans le vent à qui le premier grand prix du 8ème Concours
international de quatuor à cordes de Bordeaux en mai 2016 vaut
d’être programmées dans la saison des Mardis Musicaux.
Né à Paris en 2011 de la rencontre de quatre personnalités aussi
sensibles qu’affirmées, le Quatuor Akilone a une vision profonde et
poétique des oeuvres qu’il aborde.
Il défend le vaste répertoire du quatuor à cordes avec intelligence,
fantaisie et musicalité.

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Beethoven      Quatuor op. 18 n°6
Webern            Op. 5 et op 9 Bagatelles
Schumann      Quatuor n°1

​

Bis

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MOZART : Quatuor à cordes N° 5 en fa majeur (second mouvement)

Trois quatuors, trois styles différents : Beethoven avec le sixième
quatuor Lobkowitz au célèbre final portant l’indication Malincolia
(La Mélancolie) s’inscrit encore dans le style classique. La liberté
d’écriture du premier quatuor de Schumann est toute romantique.
Et Webern, avec les Cinq Mouvements pour quatuor à cordes, et les
Six Bagatelles, compose des pièces miniatures qui disent l’essentiel
en quelques mesures. Le développement formel laisse place au
raffinement sonore.

Mardi 12 décembre 2017
20h30 Grand Théâtre

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Emmanuel Rossfelder
Dmitri Illarionov

guitares

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À quatorze ans, plus jeune guitariste jamais admis dans la classe
d’Alexandre Lagoya, son maître dit de Rossfelder :“Emmanuel offre à
la guitare une sonorité puissante, de la virtuosité, de l’émotion et une
fantaisie qui font de lui un grand artiste”.
Depuis, ce qu’il aime c’est se produire en public où il a la guitare
pleine d’humeurs et d’humour.
Il jouera à Angers avec son complice Dimitri Illarionov, né en 1979,
titulaire de plus de vingt grands prix internationaux, aux Etats-Unis, en
Espagne, en Italie, en Pologne, en Russie etc…
Un duo de choc à ne pas manquer.

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Oeuvres de Sor, Tarrega, Rodrigo, Granados, Falla, Boccherini
Debussy, Grieg, Gismonti et Piazzola

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Ce duo de guitaristes est évidemment dans son élément avec les
compositeurs espagnols : Sor, Tarrega, Rodrigo, Granados, Falla. Et
avec un italien, Boccherini, qui a beaucoup écrit pour la guitare.
Il jouera ensuite deux transcriptions d’œuvres très célèbres : Clair
de lune de Debussy, puis Au matin, extrait de Peer Gynt de Grieg.
Il conclura avec des compositeurs d’Amérique du sud : le brésilien
Gismonti et l’argentin spécialiste du tango : Piazzola.

Mardi 23 janvier 2018
20h30 Grand Théâtre

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Quatuor Ébène,

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Gabriel Le Magadure, Pierre Colombet, violons,
Marie Chilemme, alto, Raphaël Merlin, violoncelle,

 

 

Quatre musiciens dans le vent, qui sur leurs instruments anciens, offrent
un souffle nouveau à la musique de chambre. Une passion, une
tension, une ascension qui enthousiasment le public depuis 1999.
Après la Philharmonie de Luxembourg, le Festival de Gstaad, et le
Carnegie Hall de New York en 2016-2017, ils s’arrêtent à Angers.

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Beethoven  Quatuor op.18 n°2
Fauré  Quatuor op.121
Beethoven  Quatuor op.59 n°2

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Trois grands quatuors : deux de Beethoven, celui dit “des compliments”
ou “des révérences’’, un des premiers du compositeur (1800) puis le
huitième, qui révèle une certaine dramatisation de sa pensée. Entre
les deux, le quatuor de Fauré, si dense, tellement écrasé par l’œuvre
de son aîné que le compositeur n’osa aborder ce genre musical qu’à
l’approche de ses quatre-vingts ans.

Mardi 13 février 2018
20h30 Grand Théâtre

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Victor Julien-Laferrière
Adam Laloum

violoncelle et piano

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Né à Paris en 1990, Victor Julien-Laferrière étudie le violoncelle au
CNSMD de Paris de 2004 à 2008 avec Roland Pidoux.
Il a fondé avec Adam Laloum au piano et Mi-Sa Yang au violon le
“Trio les Esprits” que les mélomanes ont pu entendre, l’an dernier, aux
Folles Journées de Nantes. Un vrai régal.

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Adam Laloum, son aîné de seulement trois ans, a obtenu en 2009 le
premier prix du concours Clara Haskil. Les Angevins ont encore dans
l’oreille son concert avec l’altiste Lise Berthaud le 6 octobre 2015.

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Beethoven          Sonate n°1
Cerha                    “Three pieces” pour violoncelle et piano (2013)
Janacek                Pohadka (Un Conte)
Rachmaninov    Sonate pour violoncelle et piano

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Un concert violoncelle-piano au programme éclectique. Après la
première sonate de Beethoven pour cette formation, de 1796, une
oeuvre de 2013 du compositeur autrichien Friedrich Cerha né en 1926,
donnera l’occasion d’écouter une musique de notre temps. Retour
un siècle en arrière ensuite, avec un conte dans l’esprit du Lac des
Cygnes, mis en musique par Janacek. Conclusion avec la sonate de
Rachmaninov, contemporaine du second concerto pour piano et
tout aussi inspirée que ce dernier.

Vendredi 23 mars 2018
20h30 Grand Théâtre

Philippe Graffin, violon, Gary Hoffman, violoncelle, Claire Désert, piano

Premier prix de violon au CNSMD de Paris, Philippe Graffin a étudié
aux États-Unis avec Joseph Gingold avant de fonder le festival
“Consonances” de Saint-Nazaire. Il joue un violon du luthier vénitien
Domenico Busano, de 1780.

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Gary Hoffman, violoncelliste, débute au Wigmore Hall de Londres dès
l’âge de quinze ans. Il est ensuite accueilli à New York. A vingt- deux
ans il devient le plus jeune professeur de la célèbre école de musique
de l’Université d’Indiana. Il était l’invité d’honneur de “Musique dans
les Vignes” en juillet 2016 à Savennières.

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Claire Désert, pianiste hors pair, parcourt le monde où elle séduit par
la grâce, la profondeur et l’humilité de ses interprétations. Elle est une
partenaire privilégiée de Philippe Graffin et de Gary Hoffman.

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Mendelssohn Trio en do mineur
Ravel                 Trio en la mineur
Dvorak Trio   Dumky

​

Trilogie de trios avec piano
D’abord le second de Mendelssohn – le ‘’Mozart du XIXème siècle’’
selon Schumann – à l’écriture énergique et brillante. Ensuite, celui de
Ravel qui est peut-être le chef-d’oeuvre de sa musique de chambre
par la fusion des timbres, la richesse des rythmes et la plénitude de
l’harmonie. Enfin, Dvorak, avec cet ensemble de six dumky associant
mélancolie et gaité sauvage parfois qualifié de ‘’complainte
bohémienne débridée’’.

Jeudi 19 avril 2018
20h30 Grand Théâtre

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Violaine Cochard, clavecin
Édouard Ferlet, piano

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C’est à Angers où elle est née que Violaine Cochard prend ses
premiers cours de clavecin auprès de Françoise Marmin, professeur
au Conservatoire d’Angers et au CNSMD de Paris.
Avec Ophélie et Héloïse Gaillard elle fonde l’ensemble Amarillis
qui, depuis, multiplie les premiers prix des plus grands concours
internationaux.

​

Inclassable et imprévisible, Edouard Ferlet est un pianiste de jazz
au swing raffiné. Son intrusion dans le monde du Cantor et ses
improvisations surprennent et séduisent.

​

Bach et improvisations

​

Cordes frappées contre cordes pincées : une originalité très
particulière pour ce travail de recomposition sur la musique de J.S.
Bach par une claveciniste spécialiste de musique baroque et un
pianiste compositeur jazzman que le répertoire classique passionne.

Mercredi 30 mai 2018 20h30 Grand Théâtre

​

Bertrand Chamayou, piano

​

A huit ans, Bertrand Chamayou commence à étudier le piano.
A quinze, il rejoint la classe de Jean-François Heisser au CNSMD de Paris. A vingt il est lauréat du Concours Marguerite Long – Jacques Thibaud. A trente, son intégrale des Années de Pèlerinage de Franz Liszt est couronnée meilleur enregistrement de l’année aux Victoires de la Musique.
A trente- trois, il est aux Mardis Musicaux. A trente-sept il revient à Angers.

 

Chopin/Liszt          Six Chants Polonais op. 74 
Schumann/Liszt   Frühlingsnacht et Widmung, extraits des Liederkreis 
Wagner/Liszt        La marche solennelle vers le Saint-Graal, extrait de Parsifal 
Wagner/Liszt        Liesbstod (Tristan und Isolde) 
Liszt                          Etudes d’exécution transcendante

 

Liszt transcripteur, d’abord, avec six Mélodies Polonaises de Chopin, suivies de deux lieder de Schumann, La Nuit de Printemps, le dernier des Liederkreis op. 34, et Widmung (Dédicace), extrait de Myrthen. Puis ce sont des extraits de Parsifal et de Tristan und Isolde: le piano de Liszt traduit magistralement l’ orchestre de Wagner. 
Liszt compositeur ensuite, avec les douze Etudes d’exécution transcendante, parmi lesquelles Mazeppa, Feux follets … Mais comme il le proclame: « La virtuosité doit être un moyen et non une fin « : ce moyen est mis ici au service de la poétique romantique.

Mercredi 30 mai 2018 20h30 Grand Théâtre

​

Bertrand Chamayou, piano

​

A huit ans, Bertrand Chamayou commence à étudier le piano.
A quinze, il rejoint la classe de Jean-François Heisser au CNSMD de Paris. A vingt il est lauréat du Concours Marguerite Long – Jacques Thibaud. A trente, son intégrale des Années de Pèlerinage de Franz Liszt est couronnée meilleur enregistrement de l’année aux Victoires de la Musique.
A trente- trois, il est aux Mardis Musicaux. A trente-sept il revient à Angers.

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Chopin/Liszt  Six Chants Polonais op. 74 
Schumann/Liszt  Frühlingsnacht et Widmung, extraits des Liederkreis 
Wagner/Liszt  La marche solennelle vers le Saint-Graal, extrait de Parsifal 
Wagner/Liszt  Liesbstod (Tristan und Isolde) 
Liszt  Etudes d’exécution transcendante

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Liszt transcripteur, d’abord, avec six Mélodies Polonaises de Chopin, suivies de deux lieder de Schumann, La Nuit de Printemps, le dernier des Liederkreis op. 34, et Widmung (Dédicace), extrait de Myrthen. Puis ce sont des extraits de Parsifal et de Tristan und Isolde: le piano de Liszt traduit magistralement l’ orchestre de Wagner. 
Liszt compositeur ensuite, avec les douze Etudes d’exécution transcendante, parmi lesquelles Mazeppa, Feux follets … Mais comme il le proclame: « La virtuosité doit être un moyen et non une fin « : ce moyen est mis ici au service de la poétique romantique.

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